QUE RESTE-T-IL DES INDICES PRÉSENTÉS PAR LE MUSÉOPARC ?

 

La preuve par 19

 

  1. Un site bourguignon contesté depuis 150 ans par de nombreux savants sérieux et éclairés,
  2. Des camps de plaine qui sont « la problématique majeure » d’Alise,
  3. Des camps de hauteurs trop exigus pour accueillir des légions césariennes,
  4. Une montagne au nord qui n’est pas au nord,
  5. Un camp des deux légats qui reste introuvable,
  6. Un fossé de vingt pieds qui n’est pas au rendez-vous,
  7. Des monnaies romaines qui ont subi « un tri a postériori »,
  8. Des restes de chevaux ininterprétables,
  9. Une toponymie qui refuse la similitude Alise – Alésia,
  10. Une tradition qui apparaît un millénaire après la bataille,
  11. Une plaine de trois mille pas de longueur qui s’étend à l’infini,
  12. Des lignes d’investissement qui n'ont pas la longueur voulue,
  13. Des espaces entre les tours qui sont variables et incohérents,
  14. Un oppidum bien trop exigu pour accueillir les Mandubiens, les 80 000 Gaulois de Vercingétorix, le bétail et les chevaux,
  15. Le camp gaulois au soleil levant qui n’est que pure hypothèse,
  16. La Brenne qui forme un véritable obstacle militaire pour les cavaleries,
  17. Des lieux escarpés qui ne sont ni à pic, ni au bon endroit,
  18. Une localisation en Bourgogne en désaccord avec les textes et la stratégie,

 19. Une bataille préliminaire de cavalerie qu’on ne peut pas localiser.