QUE RESTE-T-IL DES INDICES PRÉSENTÉS PAR LE MUSÉOPARC ?
La preuve par 19
- Un site bourguignon contesté depuis 150 ans par de nombreux savants sérieux et éclairés,
- Des camps de plaine qui sont « la problématique majeure » d’Alise,
- Des camps de hauteurs trop exigus pour accueillir des légions césariennes,
- Une montagne au nord qui n’est pas au nord,
- Un camp des deux légats qui reste introuvable,
- Un fossé de vingt pieds qui n’est pas au rendez-vous,
- Des monnaies romaines qui ont subi « un tri a postériori »,
- Des restes de chevaux ininterprétables,
- Une toponymie qui refuse la similitude Alise – Alésia,
- Une tradition qui apparaît un millénaire après la bataille,
- Une plaine de trois mille pas de longueur qui s’étend à l’infini,
- Des lignes d’investissement qui n'ont pas la longueur voulue,
- Des espaces entre les tours qui sont variables et incohérents,
- Un oppidum bien trop exigu pour accueillir les Mandubiens, les 80 000 Gaulois de Vercingétorix, le bétail et les chevaux,
- Le camp gaulois au soleil levant qui n’est que pure hypothèse,
- La Brenne qui forme un véritable obstacle militaire pour les cavaleries,
- Des lieux escarpés qui ne sont ni à pic, ni au bon endroit,
- Une localisation en Bourgogne en désaccord avec les textes et la stratégie,
19. Une bataille préliminaire de cavalerie qu’on ne peut pas localiser.